Claude Closky espose au MacVal plus de vingt ans de création prolixe. Après avoir reçu le Prix Marcel Duchamp en 2005, c’est une nouvelle consécration qui lui est faite en France. Ses « aoûtiens » (film, 1997) ici en pleine catharsis peuvent s’en réjouir, en effet ! Pour cet ancien publicitaire, sa matière première est l’image détournée de son sens d’origine. C’est également le mot, le signe, le nombre qu’il ordonne et réorganise jusqu’à semer le trouble. Que se passe-t-il quand l’on classe les 10 premiers nombres par ordre alphabétique ? C’est à cette question, et à tant d’autres posées par l’artiste conceptuel, qu’est consacrée cette première grande rétrospective au MacVal à Vitry sur Seine, jusqu’au 22 juin. Photographies, projections vidéos, dessins et installation sonore invitent à la découverte de l’univers déroutant de ce jongleur d’idées.
Enfin une rétrospective !
Enfin le fin du fin !
Voir et entendre ici l’atelier de création radiophonique que Closky a réalisé pour France Culture :
http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/acr/index.php
diffusé dimancher dernier, et disponible en podcast.
Claude Closky m’a ouvert les yeux sur Jean-Claude Bourret. Je crois bien que Closky est un ovni pour l’art contemporain…
…Comme Régis Michel, conservateur du Louvre, est un OVNI pour le Louvre. Il a fait « l’acting out » de Fluxus, de l’art action et du body art autrichien. Alexia nous en dira bien quelques mots?…
Indfrisable, qu’entends-tu par » acting out » ? Il les met en avant ou bien il les met au rancard ?
Je m’intéresse beaucoup à l’art de la performance. Beaucoup d’estime pour un Michel Journiac notamment, artiste français ‘backstage’ trop sous-estimé selon moi. Le boudin avec son sang, + la Messe dans une galerie d’art dans les sixties ou seventies en présence, entre autres, de la jeune Catherine Millet, c’est lui.
Vince,
faire « l’acting out » c’est faire un passage à l’acte trangressif, notamment dans une institution assez réticente à ce passage à l’acte.
C’est aussi performatif… dire c’est faire…
Vince,
faire « l’acting out » c’est faire un passage à l’acte trangressif, notamment dans une institution assez réticente à ce passage à l’acte.
C’est aussi performatif… dire c’est faire…
Vince,
faire « l’acting out » c’est faire un passage à l’acte trangressif, notamment dans une institution assez réticente à ce passage à l’acte.
C’est aussi performatif… dire c’est faire…
Vince,
faire « l’acting out » c’est faire un passage à l’acte transgressif, notamment dans une institution assez réticente à ce passage à l’acte.
C’est aussi performatif… dire c’est faire…
Ce n’est pas faire le forcing par contre…
Indfrisable
Je ne pense pas que vous ayez été voir l’expo de Closky au Mac Val ou alors j’ai raté les 2/3 de son travail…………Je me suis déplacée pour un immense espace clos, vide, sombre où des pièces devaient être tracées au lazer rouge sur le sol ou en hauteur…Je les cherche encore….J’ai erré avec un casque sur les oreilles me débitant ce que vous énumérez en commentaires tout comme la plaquette de l’expo d’ailleurs, ces voix censées dérégler des systhèmes éprouvés, par l’inversion, la tonalité, le propos….C’est tout !!!! Rien d’autre de votre Closky !!! J’y suis allée en vélo depuis Vincennes à la lecture de votre billet…..Expliquez moi ce que je n’ai saisi, s’il vous plait, avec accessibilité et des mots à vous….J’aimerais aussi savoir où se trouvait le reste de son travail. Merci Madame. I.Tibini
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