Charlotte Rampling travestie au nom de l’Art !

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charlotte.jpgOn vous a reconnue Charlotte Rampling ! Quel courage d’avoir laissé Jacques Bosser vous photographier en héroïne Manga… Etes-vous cette femme guerrière livrant bataille, à la manière des Walkyries dans la mythologie nordique ou des Amazones dans la mythologie grecque ? Après le traitement que Jacques Bosser a fait subir à Sue Tilley, le modèle de Lucian Freud, en la maquillant à la façon d’un geisha maltraitée, c’était osé ! Le photographe plasticien aurait pu aussi vous transformer en bombe esthétisante. Bravo d’avoir accepté la face obscure de sa création. Galerie Christine Phal, à Paris, jusqu’au 28 fev.

2 Commentaires

  1. Une Rampling en geisha psychédélique, j’achète !
    Petite précision : Charlotte Rampling a déjà lorgné au cinéma vers le kitsch incongru. un exemple parmi d’autres :  » Max mon amour « , film japonais de Nagisa Oshima (1986); une femme tombe raide dingue amoureuse d’un singe.
    J’aime beaucoup cette actrice, pour son côté bord-cadre. Alors, à quand une Rampling chez un Araki, en vue peut-être d’un hara-qui-rit ?

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